Archives mensuelles : avril 2014

Pedibus à Bulles (60) : 7 ans déjà !

Le pédibus existe à Bulles depuis 7 ans déjà. Il a été imaginé à la suite d’un PDJ. La mairie consacre une page de son site à cette démarche qui est désormais inscrite dans le temps (http://www.mairie-bulles.fr/pedibulles.html). 40 enfants utilisent régulièrement les deux lignes verte et blanche du pédibus.

Nouvelle séance de formation des associations membres du réseau picard pour l’écomobilité

Organisée par l’ADEME et la Région Picardie, une nouvelle session de formation à l’accompagnement des plans de déplacements jeunes s’est déroulé sur deux jours les 22 et 23 avril 2014. Cette mission, confiée au bureau d’études Inddigo, a réuni 11 personnes de 8 associations. Au programme : apports théoriques, réflexions collectives et mises en pratique. formation PDJ 2 formation PDJ

Un projet de pédibus à Bailleul sur Therain à la rentrée 2014 ?

Une réunion d’information organisée par la mairie de Bailleul sur Thérain a lieu le vendredi 18 avril 2014 et et fait suite au projet de mise en place de lignes de Pédibus pour la rentrée scolaire 2014/2015. Les premiers essais de lignes auraient lieu en mai et juin 2014.

L’exposition du réseau picard pour l’écomobilité servira de support de communication et de sensibilisation sur ce projet

Enquete ADEME IPSOS sur les moins de 30 ans : l’importance de l’école dans la compréhension des enjeux environnementaux – des aspirations qui évoluent

L’ADEME, en partenariat avec Ipsos, a décrypté l’attitude des moins de 30 ans face aux nouveaux enjeux collectifs et planétaires. Dans quatre pays clés (France, Allemagne, États-Unis, Chine), un échantillon représentatif des personnes âgées de 15 à 30 ans a été interrogé fin 2013.

Interrogés sur le futur de la planète, les moins de trente ans expriment une vision pessimiste. Ainsi, si 82% des moins de trente ans restent confiants en ce qui concerne leur avenir personnel, seuls 17% des jeunes Français sont confiants sur l’état de la planète dans les dix ans à venir.

En ce qui concerne l’environnement, le niveau d’information des moins de trente ans est correct mais perfectible. L’âge auquel ils ont acquis des connaissances se situe entre 15 et 18 ans pour la plupart : c’est au lycée que la connaissance et l’information se transmettent. Néanmoins, les 15-17 ans pensent que cette diffusion de connaissances intervient plus tôt (au collège entre 11 et 14 ans). Les sources privilégiées d’information sur les problèmes environnementaux sont l’école (49%), la télévision (45%) et les parents (40%).

Les adolescents (15-17 ans) se sentent moins bien informés et pratiquent moins que les autres. Ils font des éco-gestes plus « par habitude, sans y penser », et moins par souci d’économie. Mais c’est aussi parce qu’ils « n’y pensent pas toujours » qu’ils ne le font pas plus souvent. Ils ne se donnent qu’à peine la moyenne quant à leur contribution personnelle à la protection de l’environnement.enquete ADEME IPSOS

Les déplacements par les modes alternatifs font partie des Eco gestes ou la pratique régulière est faible : 22 % déclarent le faire systématiquement, 46% déclarent le faire souvent mais pourraient le faire plus et 26% ne pratiquent pas cet éco geste.

Enfin, les moins de trente ans ont des formes d’engagement différentes de celles des générations précédentes. Ils sont en effet déjà fortement impliqués dans les nouvelles pratiques «collaboratives» qui consistent à se mettre directement en contact de particulier à particulier pour acheter, vendre, louer, échanger, etc. C’est aujourd’hui devenu pour eux une façon banale d’effectuer des transactions. L’achat et la vente d’objets d’occasion concerne ainsi une majorité d’entre eux. Les pratiques en plein développement concernent le covoiturage, l’achat groupé, le troc, la rémunération de petits services entre eux, la colocation. Certaines pratiques sont encore émergentes ; on peut citer notamment la location, le crowdfunding, le recours à des AMAP ou l’usage des vélos ou des automobiles en libre-service. Pour autant, elles ne sont pas revendiquées comme « engagées » ou « collectives »,